The Art Pack filme, monte et post-produit les expos, les vernissages, les concerts, les festivals musicaux, les happenings, les salons, les événements culturels en tout genre ainsi que certains accouchements; s'immisce dans les clubs, les soirées privées, les after-shows, les backstages, les dessous, les dessus, les dedans et les dehors de la scène culturelle et artistique française, pour n'en garder que le meilleur.
C’est sur, le style d’Ebony Bones n’est pas évident. Tenues
clownesques et farfelues, tracks criants et décadents… Cette belle plante
anglaise offre un carnaval scénique dionysiaque et éclectique, entre le « glam
rock » et l’ « electro punk ». Comprend qui veut.
Dès le beat lancé et les premières syllabes entonnées, la
foule est rassurée. Le clown se transforme en bête de scène, entre Cindy Lauper
et Annie Lennox, avec un soupçon de Grace Jones. Poncifs nécessaires.
C’est d’ailleurs par la performance que cette ancienne
actrice commence à faire ses gammes dans la musique. Un peu plus d’un an de
tournée outre Atlantique, en Allemagne, en Italie et en Angleterre - off course. Quelques dates dans
l’hexagone, Transmusicales et Vilette Sonique, pour les plus remarquées. Puis
ça y est, son premier album intitulé Bones
Of My Bones sort en juin chez Pias. « Enfin ! » pensent
certains.
Pas étonnant que nos amis de Tsugi se penchent sur le
sacerdoce musical d’Ebony. Et comme à l’accoutumer, The Art Pack est de la party.
Comme quoi parfois l’habit fait le moine, et ça rassure tout
le monde.
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Réalisation : Antoine Cayrol, Pierre Zandrowicz &
Delfine Paolini.
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